6.10.2020 “ENKI BILAL” présentée du 18 juillet 2020 au 4 janvier 2021 au Fonds Hélène et Edouard Leclerc à Landerneau

L’agence Jean-Julien Simonot a conçu la scénographie de l’exposition “Enki Bilal”
Une exposition présentée au Fonds Hélène et Edouard Leclerc à Landerneau du 18 juillet 2020 au 4 janvier 2021
A partir du samedi 18 juillet 2020, au Fonds Hélène & Édouard Leclerc, Enki Bilal nous emmène à la découverte de son univers.
À la croisée des arts, des cultures, des temps, des mondes et des sociétés, réels ou fictionnés, son oeuvre se parcourra dans l’exposition, autour des grands thèmes qui s’y déploient. Dessins, peintures, films, écrits, seront présentés, depuis ses débuts dans la bande dessinée dès les années 70 jusqu’à ses oeuvres les plus récentes et, pour certaines inédites, réalisées pour Landerneau, comme la série qu’il prépare en écho avec le célèbre tableau de Picasso, Guernica.
Maître d’ouvrage : Fonds Hélène et Edouard Leclerc
Commissariat : Serge Lemoine, Professeur émérite de l’Université de la Sorbonne (Paris), ancien président du musée d’Orsay et ancien directeur du musée de Grenoble
Scénographie : Jean-Julien Simonot
Conception lumière : Abraxas Concepts
Graphisme, Signalétique : Rhodamine
Surface : 1100 m2
Dessin de l’affiche : Enki Bilal, Le Sommeil du Monstre, planche 18 case 1, 1998 – Atelier de l’artiste
16.09.2019 “BACK SIDE – DOS A LA MODE” – Une exposition hors les murs du Palais Galliera présentée au musée Bourdelle du 5 juillet au 17 novembre 2019

L’agence Jean-Julien Simonot a conçu la scénographie de l’exposition “BACK SIDE – DOS A LA MODE”
Une exposition hors les murs du Palais Galliera présentée au musée Bourdelle du 5 juillet au 17 novembre 2019
Dans notre société obsédée par le visage, Back Side – Dos à la mode est un sujet original et inattendu. En abordant les liens du corps au vêtement d’un point de vue social et psychologique, l’exposition interroge la perception que nous avons de notre dos et de celui des autres.
Le dos rappelle à l’homme ses propres limites : il se dérobe à la vue et en partie au toucher. Cependant, la mode ne cesse de l’orner, de le charger ou de le dénuder. Sur cette zone la plus plane de notre corps, messages et motifs se déploient en toute lisibilité sans que nous croisions jamais les regards qui leur sont accordés.
Du sillage d’une traîne de cour à la charge d’un sac à dos, de la sensualité d’un décolleté à la contrainte d’une fermeture, l’exposition propose un parcours thématique d’une centaine de silhouettes et d’accessoires du XVIIIe siècle à nos jours issus des collections de Galliera. Cet ensemble est complété par une sélection d’extraits de films et de photographies.
Maître d’ouvrage : Paris Musées
Commissariat : Alexandre Samson, responsable de la création contemporaine au Musée Galliera
Scénographie : Jean-Julien Simonot
Graphisme, Signalétique : CL Design
Conception lumière : Abraxas Concepts
Surface : 500m2 + salles des collections permanentes
Photo : Kim Inslinski par Jeanloup Sieff, top et jupe Martine Sitbon, New York, 1997. © Estate of Jeanloup Sieff
15.09.2019 “L’OEIL EXTATIQUE. SERGUEI EISENSTEIN A LA CROISEE DES ARTS” présentée du 28 septembre 2019 au 24 février 2020 au Centre Pompidou Metz

L’agence Jean-Julien Simonot conçoit la scénographie de l’exposition “L’OEIL EXTATIQUE. SERGUEI EISENSTEIN A LA CROISEE DES ARTS”.
Une exposition présentée du 28 septembre 2019 au 24 février 2020 au Centre Pompidou Metz
Sergueï Eisenstein, réalisateur mythique qui fit la gloire du cinéma russe, est bien plus qu’un cinéaste. Cultivant l’art du montage et de la lumière au point d’inventer un nouveau langage visuel au milieu des années 1920, Eisenstein s’est toujours placé à la croisée des arts. Homme de théâtre et de littérature, dessinateur, théoricien, passionné d’archéologie et d’anthropologie,il n’a cessé de se nourrir de l’histoire de l’art tout au long de sa carrière.Le Centre Pompidou-Metz propose une rétrospective de son oeuvre en regard de l’influence de cet héritage universel. On y retrouve les grands films qui l’on fait connaître (La Grève, 1924 ; Le Cuirassé Potemkine, 1925 ; Octobre, 1927 ; La Ligne Générale, 1929 ; Que Viva Mexico !, 1932 ; Alexandre Nevski, 1938 ou encore Ivan le Terrible, 1944-46), mais aussi ses expérimentations théâtrales, ses dessins riches de symboles, tracés à la ligne claire, ou ses projets inachevés. L’exposition retrace la méthodologie et l’approche visionnaire du cinéaste, aux productions fortement liées à l’histoire russe mais aussi à ses nombreux voyages en Europe, au Mexique et aux Etats-Unis, à ses lectures et à ses rencontres.
Maître d’ouvrage : Centre Pompidou Metz
Commissariat : Ada Ackerman, chargée de Recherches au CNRS/THALIM, historienne de l’art et Philippe-Alain Michaud, conservateur au Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, chef du service du cinéma expérimental
Scénographie : Jean-Julien Simonot
Surface : 1100m2
Photo : Sergeï Eisenstein, Ivan le terrible, 1945